L'avis de recherche en dernière de couverture du Parisien m'a intrigué. Je me suis dit : je vais aller à Montrouge, voir si à l'adresse, il y quelqu'un... J’ai enfourché ma bicyclette. Et oui, il y a quelqu'un qui sait de quoi on parle !
Je suis né en 1929. Je suis retraité. Ma mère m'avait mis à 17 ans à la Maîtrise Notre Dame rue Paganini à Nice. Il y avait l'école diocésaine. Nous disposions d'un gymnase et d'une belle piste d'athlétisme... L'abbé qui s'occupait de la paroisse de Roquefort les Pins a dû mourir en 1950.
On partait en pélerinage souvent en tramway. J'étais enfant de choeur et nous chantions le dimanche. Ma mère aurait souhaité que je rentre au séminaire de Nice, mais je ne l'ai pas fait.
Dans la revue des Coeurs Vaillants, il y avait les histoires de Tintin...
L'avis de recherche en dernière de couverture du Parisien m'a intrigué. Je n'ai pas Internet... Il n'y avait pas de numéro de téléphone... Je ne savais pas que les Coeurs Vaillants existaient encore... Je me suis dit : je vais aller à Montrouge, voir si à l'adresse, il y quelqu'un... J’ai enfourché ma bicyclette. Et oui, il y a quelqu'un qui sait de quoi on parle !